« Les Journées qui n’ont pas eu lieu » : c'est le titre du dernier numéro de La Cause du Désir. Ces Journées s'inscrivent de façon singulière : comme un trou.
Lorsque les adolescents ne sont pas en prise avec leur image, ils s’éprennent de défis variés comme « les parcours » et la ville devient leur lieu d’exploits les plus extrêmes.
Pornographie[1] À qui l’heureux corps ?
Les élans du sexe, s’ils sont pris dans la trame du symbolique, ne se plient pas aisément aux prescriptions sociales.
En continuant à utiliser le site, vous acceptez l’utilisation des cookies. Plus d’informations
Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.