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Le désir de notoriété et les « satisfactions scoptophiliques » infiltrent les idéaux sociaux contemporains, ce qui tend à normaliser le crime.

La criminalité donne le cadre d’une société. Elle en est la marge.

Le corps, c’est ce qui permet de saisir un être, mais c’est aussi ce qui contient une jouissance qui va avec la langue, jouissance qui le saisit tout autant.

Est-il possible de concevoir un rapport à l’autre, une fraternité qui ne vire pas au rejet ?

Quelque chose dans le silence attentif du consultant va opérer un petit bougé, entrebâiller un creux.

Dans ce que je défends sous le nom de droit d’exil, il y a notamment le droit au secret, condition pour que s’ouvre une parole intime.

Avec cette notion de vie, l’humain ne cesse de se perdre, témoignage de la persistance d’un réel inassimilable dans l’existence même du sujet.

Pour Lacan, l’humanisme universel ne tient pas à cause des paradoxes de la jouissance.

Pourquoi cette loi [sur « la fin de vie »] aux échéances sans cesse repoussées, est-elle si difficile à être présentée au vote ?

Médecins praticiens à l’APHM hôpital de la Timone, Marseille, Unité Mobile Intra Hospitalière de Soins de Support et Soins Palliatifs, Service Oncologie Médicale