
Du côté des simultanées : le suspens
Du côté de la coordination des simultanées, le temps est au suspens…
L’appel à contribution des 47e journées de l’ECF sera lancé très prochainement, et la réception des arguments, au cours du mois qui suivra, ne manquera pas de venir interpréter, sous une forme inversée, le message contenu dans l’argument proposé par Virginie Leblanc et Fabian Fajnwaks, et les axes thématiques travaillés avec le comité scientifique – constitué d’Hélène Deltombe, Beatriz Gonzales-Renou, Philippe Lacadée, Pierre Naveau et Daniel Pasqualin.
Avons-nous suffisamment réussi à problématiser, dialectiser, les trois signifiants du titre au sein des neuf axes, afin qu’ils résonnent, dans l’inconscient des praticiens, avec le plus singulier de ce qu’ils ont eux-mêmes pu apprendre d’un cas ?
Sommes-nous parvenus à ouvrir, à tordre le thème, afin qu’en retour la clinique analytique lacanienne puisse s’exposer dans sa plus grande variété ?
Ces questions trouveront leur réponse à la lecture des arguments, qui contribueront ainsi de manière retroactive à faire la lumière sur l’objet des J47 – forcément pas tout à fait encore dévoilé, pour les responsables eux-mêmes !
Les arguments, que nous espérons nombreux, constitueront donc une première boucle sur le thème, avant celle de la tenue des simultanées le samedi 25 novembre. Ce sera, enfin, la fin du suspens !
Articles associés
-
La jouissance féminine : une orientation vers le réel10 novembre 2019 Par Mathieu Siriot
-
Le sein13 octobre 2019 Par Yves Daemers
-
Lire Lacan au XXIe siècle29 septembre 2019 Par René Fiori
-
Que savent les enfants ? Questions et réponses au CPCT22 septembre 2019 Par Lilia Mahjoub
-
À la hauteur du sujet22 septembre 2019 Par Entretien du CPCT-Paris avec Hélène Bonnaud