Alexandre Leger, artiste peintre, vit et travaille à Paris.
Stylo Bic, crayon, aquarelle, rehauts blancs à la gouache : sur la feuille de papier, le trait s’épanouit dans l’espace à la manière d’un jardin secret, explorant chaque recoin pour y faire fleurir l’expression romanesque, voire fantastique.
La nuit de velours bleu introduit « une série de très petits formats, sur un papier buvard utilisé, à l’origine, pour essuyer mes pinceaux. Une première image, une paréïdolie, apparaissant ainsi. L’idée que le buvard, papier sans colle, soit aussi un support lié à l’écriture et l’un des moins adapté à la technique de l’aquarelle finît de motiver l’envie d’y développer une série d’images et poursuivre ainsi mon exploration du lien texte-image. »