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Le CPCT, ou donner à l’inconscient chance d’exister
Le savoir qui se révèle au CPCT ne s’apprend pas, mais s’arrache au réel dans un mouvement d’ouverture de l’inconscient qui suppose un vacillement propre à chaque sujet. -
Un bricolage du temps logique
Au CPCT, le temps est compté à l’avance et cela a des conséquences. L’angoisse et l’urgence subjective sont peu propices au tournage en rond. -
Psychanalyse lacanienne et psychothérapie
Malentendu profitable, différences radicales passées sous silence, héritage d'Outre-Atlantique... La confusion entre les psychothérapies et la psychanalyse persiste. -
Le cadavre enlevé
L’analyste peut vouloir traiter la souffrance subjective des personnes âgées en leur offrant une autre perspective que celle de survivre. Récit d'un cas du CPCT. -
Un homme qui vole
Lorsque le décès d'un parent dévoile la « succession » qui vient pallier l’impossibilité d’assumer un héritage et une filiation symboliques, et précipite le sujet dans l'urgence -
Un sas anti-écrasement
Quelle marge de manœuvre peut-il y avoir pour un traitement au CPCT avec des patients persécutés qui semblent davantage relever de la psychiatrie de secteur que de la psychanalyse ? -
Insomnie
Un traitement qui met en lumière le passage d'un corps cadavérisé à un corps vivant. Venir parler à un consultant du CPCT a en effet insufflé du vivant, impactant le corps autrement. -
Après midi du CPCT : “Un traitement qui compte”
C’est sous le titre “Un traitement qui compte”, et devant une salle comble, que s’est déroulé, samedi 9 avril le second rendez-vous clinique du Centre Psychanalytique d