Variété des interprétations

Dans 12 jours auront lieu les Journées de l’Ecole. Lever de rideau. Excitation. Découvertes. Surprises. Joie de se retrouver.

L’Hebdo-Blog de cette semaine publie des textes en rapport avec le thème des J47. Et – par un vecteur inhabituel – la conférence d’Hervé Castanet Qu’est-ce qu’apprendre ?, audible depuis le site.

Encore une fois, la variété des interprétations du thème des Journées se dit dans les textes. Une diversité palpable, tant dans les angles choisis des soirées préparatoires, que dans la façon dont les auteurs confient par quoi ils ont été attrapés. C’est dire l’empan du thème choisi qui se décline dans les lieux et les moments les plus inattendus, tout comme on apprend souvent ce à quoi on s’attendait le moins.

Ainsi, c’est l’alliance d’un lieu surprenant sur le plan géographique et d’un nombre important de participants qui donne l’interprétation de la soirée qui eut lieu à Saintes : « de l’art d’y savoir y faire avec le trou… »

C’est aussi la pratique ritualisée mais inventive du transport des enfants en voiture qui donne lieu à un « précis hors-norme de régulation des pulsions », soit un pied-de-nez aux modes d’emplois dénués de chair et d’humour.

Dans ce numéro se trouvent aussi les témoignages de ceux qui ont pris la plume pour témoigner de ce qu’est d’apprendre d’une conférence, d’un cartel, d’une présentation de malades, du fonctionnement des institutions, d’un atelier d’écriture avec les assistantes familiales, d’une conversation avec des élèves, d’une rencontre avec des enfants qui n’apprennent pas… C’est en ne se faisant pas sourd à ce par quoi chacun apprend à partir de soi que le thème continue d’être interprété !




Qu’est-ce qu’apprendre ?

Ecoutez la conférence prononcée par Hervé Castanet dans le cadre du colloque CAF13 en partenariat avec le CPCT Marseille-Aubagne.




Apprendre du trauma à Nancy avec S.Chiriaco

Le 23 septembre dernier, dans le cadre de la préparation des Journées de l’Ecole, « apprendre, désir ou dressage » organisée par l’ACF-Est, Sonia Chiriaco nous a rejoints à Nancy pour une conférence intitulée « Apprendre de la répétition pour s’en arracher » dont voici l’argument : 

« La répétition, c’est ce que l’analysant découvrira immanquablement en s’engageant dans le dispositif freudien. Il apprendra qu’elle est rebelle, inéducable, et qu‘elle implique le corps. Il lui faudra en prendre la mesure pour parvenir à s’en détacher un tant soit peu ».

Nous étions nombreux, venus des quatre coins de l’Est, Strasbourg, Metz, Saint-Dié et Bar-le Duc, pour l’écouter et participer à la discussion soutenue par un cartel de préparation autour de son livre Le désir foudroyé avec des questions en perspective des Journées :

Qu’apprend-on d’une analyse ? Qu’apprend-on du trauma et de la répétition ?

A travers un parcours théorique de Freud à Lacan allant de la répétition à l’itération, Sonia Chiriaco nous a introduits petit à petit à la jouissance qu’il ne faut pas, celle de l’excès, des cauchemars, de l’addiction, de la pulsion de mort qui excède le principe de plaisir et à son côté incurable : en effet la satisfaction elle-même tient au ratage du but et à la répétition du circuit de la pulsion.

Il faudra des tours et des tours d’analyse, pour instaurer la dimension de la perte et la construction du fantasme qui a permis d’y parer.

Alors s’entrevoit à travers la répétition chaque fois un peu différente, l’itération, donc la répétition du même, rencontre contingente avec Lalangue. « La jouissance dépend du langage, du hasard de sa rencontre avec le corps ». Là est le véritable traumatisme initial.

L’appréhension des restes sinthomatiques de cette opération permettra de « savoir-y-faire » avec son sinthome.

Enfin, à travers un cas clinique, Sonia Chiriaco nous a introduits à ce qui se passe « au joint le plus intime du sentiment de la vie ». Pour une patiente, la notion de responsabilité subjective dans ce qui lui est arrivé lui a permis de construire un fantasme qui l’a sauvée et son élucidation dans la cure, lui a donné un gain de vie et un désir infini d’apprendre.

Lorsqu’un bout de savoir débusque un peu de réel, le réel ne vous lâche plus et ne vous lasse plus d’en apprendre davantage.

Tant qu’on a envie d’apprendre, on est en vie !

Alors, rendez-vous aux Journées d’automne




Tracer des voies dans l’impossible à éduquer

« Si tu veux apprendre, abandonne ton rachâchant ! » : c’est par la déclinaison vivifiante de ce S1 – posture de jouissance du petit Ernesto de Marguerite Duras – que Philippe Lacadée nous a d’emblée accroché à la question de l’usage possible du savoir transmis par l’Autre1, lors de sa conférence au Bureau de Ville de Liège, ce 23 septembre, en préparation des J47.

S’il nous a été rappelé que l’école est une « petite entreprise de mortification » qui « dématernalise » la langue, lâcher quelque chose d’une certaine jouissance pour rentrer dans les apprentissages scolaires ne va pas de soi, et résiste résolument à toute velléité de dressage. Car transmettre le savoir ne relève pas d’un savoir-faire, mais bien plutôt, comme démontré, d’un savoir y faire. En l’occurrence, celui qui permettrait d’accueillir, pour le reconnaître, ce rachâchage, afin d’en extraire la « jouissance peu réjouissante » y logée – celle liée au petit a, de cette volonté obscure de jouissance et son repli narcissique, – soit de se débrouiller pour ouvrir au savoir insu déjà là chez le sujet afin qu’il s’articule à la langue de l’Autre.

Prendre appui là-dessus, sur ce que le sujet sait déjà sans pouvoir le dire et qui peut faire blocage aux apprentissages est la voie résolument promue par P. Lacadée dans « l’expérience de la conversation » avec les élèves. C’est une expérience qui parie sur « un savoir qui n’est pas déjà construit », à faire surgir, en particulier pour élever les plaintes – dont les élèves peuvent se réjouir – à « la dignité d’une transmission » ou redonner de l’« entendement » à leurs paroles.

Et il nous a été illustré alors comment cette expérience de la conversation peut redonner toute sa valeur à l’usage de la langue ou à l’impact d’un dire, soit encore réactualiser le rachâchage comme une voie possible pour accéder à un usage poétique de la langue – « chance inventive » pour traiter ce qui se rachâche. C’est aussi l’occasion de créer un lieu pour « un jeu théâtralisé de la vie » qui offre une des façons de dire oui au plus singulier du symptôme – afin d’en trouver un bon usage, soit pour réinventer sa place dans l’Autre quand son être objet submerge ; mais, en l’occurrence, pas sans l’appui d’un enseignant présent engagé dans son désir de transmettre, décidé à rencontrer l’élève là où il en est pour donner cette chance merveilleuse à l’amour de mener au savoir – pour aller vers l’Autre – lorsqu’il est adressé au supposé-savoir.

Quant à la voie à tracer face la pente de l’« autorité autoritaire » qui échoue plus que jamais face à la violence qui surgit à l’école comme réponse à une situation qui signe un dire en défaut et une image du corps en difficulté, épinglons encore cette retentissante formule : celle qui propose d’élever le conseil de discipline à un « prendre conseil de l’indiscipline du sujet », qui est toujours, comme P. Lacadée n’a pas omis de nous le rappeler, « foncièrement indiscipliné », soit indomptable ! Dès lors, plutôt que les sanctions, il nous invite à manier les scansions, c’est-à-dire ces points d’arrêts qui offrent chance de lire avec le sujet son texte en manque de transmission.

Ce fut assurément une leçon de savoir y faire formidable pour mettre en mouvement notre désir d’apprendre – sur l’utilité d’apprendre et ses impasses – et pour nous maintenir en alerte sur notre responsabilité d’enseignant, d’éducateur ou de soignant face au complexe de la vie à nouer désir et savoir que nous a donné à-prendre la très riche et vive conférence de notre invité Philippe Lacadée !

1 Cfr. Lacadée P., « Apprendre en rachâchant », Les ACF en action, L’HEBDO-BLOG n°116 du 2 octobre 2017.




“Quand s’apprend la tête !”

Nous avions donné rendez-vous à Philippe Lacadée ce mardi 3 octobre au lycée professionnel horticole de Chadignac, au milieu des champs et des serres de la campagne saintongeaise. Sur le plan géographique : un « trou ».

Titre de la soirée : « Quand s’apprend la tête ! Eveil et impasses du désir d’apprendre à l’adolescence ». Soirée préparatoire aux J47.

Diffusion large, entrée libre, volonté d’ouvrir au grand public. Pour seules indications sur une potentielle mobilisation, les échanges préalables que nous avons pu avoir au sein d’établissements scolaires ou médico-sociaux de l’agglomération. A priori, on mise sur un public qui entend peu parler de psychanalyse au quotidien. Après un pari sur le lieu de la conférence, pari sur le public attendu donc. Second trou. Les conditions idéales pour qu’une rencontre puisse avoir lieu, avec ses effets de surprise.

20h, nous accueillons Philippe Lacadée. Environ 200 personnes présentes. L’amphithéâtre est plein, le trou a fait fonction d’appel. Ce lieu en marge de la ville permet peut-être d’offrir un point d’où s’extraire du discours du maître qui étouffe au quotidien les professionnels qui ont à accompagner les adolescents et qui viennent ce soir entendre autre chose. Le lieu est finalement pertinent, reste encore à trouver la formule.

Pour cela, il nous fallait un psychanalyste qui a l’art de savoir y faire le trou. P.Lacadée prend le micro, ses premiers mots seront : « Merci de m’avoir invité…dans ce trou perdu »! Ce sera le point de départ d’une conférence qui va donc nécessairement s’inventer au fil de la soirée, au gré d’une rencontre avec un public présent, qui réagit, qui rit. Le trou permet le surgissement, la surprise, les traits d’esprits fusent, le public est saisi. P.Lacadée nous donne à entendre et à voir, mettant en jeu ces deux objets du désir si importants pour que quelque chose passe, se transmette, en lien avec le thème de cette conférence.

L’adolescence est bien ce moment de rencontre avec un trou, trou dans le savoir sur le sexuel. P.Lacadée, s’appuyant sur le titre de la conférence, nous fait la démonstration de la modernité de la découverte freudienne, et de l’intérêt de tenir compte de ce « ça » qui occupe l’adolescent. « Ça prend la tête ! », « ça me gave ! » coté adolescent ; « je n’ai pas été formé pour ça ! » côté enseignant. P.Lacadée fait le tour des impasses sur lesquelles butent tant les adolescents que les enseignants ou les éducateurs. Le réel est peu à peu cerné.

Freud utilisait la métaphore du tunnel pour parler de cette délicate transition qu’est l’adolescence. Temps de l’exil, mais qui peut aussi devenir temps de l’éveil, et notamment éveil du désir d’apprendre. P.Lacadée nous rappelle ainsi que pour Freud lui-même, à l’adolescence, certains professeurs alimentaient « un courant souterrain qui ne tarissait jamais »1, faisant valoir la logique structurale du tunnel, et surtout ses effets en la présence d’un professeur qui sait se faire passeur d’un certain savoir, non sans user de son corps et du verbe.

Comment démontrer qu’une vraie vie à l’école est possible – en référence au titre d’un des ouvrages de P.Lacadée ? Tout simplement par une démonstration en acte : mardi soir, c’était la vraie vie dans l’amphithéâtre du lycée de Chadignac. Les témoignages recueillis après-coup nous l’ont confirmé.

De l’art de savoir y faire avec le trou, ou comment enseigner ce qui ne s’enseigne pas.

1 Freud S., Sur la psychologie du lycéen, 1914.




Construire le lieu d’un savoir à produire passant par l’écriture

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Apprendre : à l’horizon du cartel

L’heure de la rentrée a sonné aussi pour les cartels de l’École. À l’initiative de l’ACF-MAP s’est tenue, le samedi 30 septembre à Marseille, une rencontre inter-cartel avec l’ACF-ECA (Nice), consacrée aux 47e Journées de l’ECF, Apprendre, désir ou dressage. Une rencontre qui a noué délicatement la question de l’acquisition de savoir à une réflexion sur le fonctionnement du cartel, « principe d’une élaboration soutenue dans un petit groupe1 », inventé par Lacan au moment où il fonde l’École freudienne de Paris. Une rencontre qui a fait démonstration, en réunissant des personnes d’horizons très différents, que le cartel est un outil qui peut se combiner à l’envi, pour produire des travaux porteurs de l’effet de surprise de leurs auteurs.

Les interventions et les discussions qu’elles ont provoquées, tant du côté des textes produits de cartels de l’année écoulée sur des thèmes très variés que du côté des introductions et conférences, se sont déployées de manière inventive autour de cet axe du cartel, sa nature, ses effets. L’occasion de rappeler que le savoir vaut beau-coût2 et qu’il est moins difficile de l’acquérir que d’en jouir. Avec le désir comme fil conducteur, la transmission d’un savoir qui fait lien entre les participants, le cartel est multiple et ses applications toujours singulières et créatives. Plusieurs textes, mises à ciel ouvert des travaux de l’année l’ont illustré par ce qui a été nommé « effet de cartel », une originalité permise et soutenue par le dispositif. Rencontre des corps et paroles, le cartel suscite une élaboration vivante ; c’est en partant de leurs savoirs particuliers et leurs insignes que travaillent les membres d’un cartel. Ceci s’est démontré ce jour-là. Un travail s’est construit autour de références données par Lacan dans le Séminaire Encore : lecture et commentaire du Cratyle de Platon3 qui interroge le non rapport entre signifiant et signifié, un point qui a ouvert une trajectoire qui s’est poursuivie dans la littérature. Un autre texte a abordé Le guerrier appliqué4 de Jean Paulhan, cité par Lacan5 pour aborder le concept de destitution subjective inhérente à la position de l’analyste, et rapporté quel usage a pu en être fait autour des conséquences de la guerre moderne. Une interrogation soutenue sur les rapports entre science et psychanalyse a conduit, à travers la question de la cause, à revenir sur l’hypothèse de l’inconscient, à l’aborder comme battement, discontinuité, béance où peut se produire la trouvaille6. Une étude précise et rigoureuse du dispositif de cartel en a souligné les mécanismes : principe de dérangement par son instabilité provoquée, le cartel produit une circulation d’idées. Véritable tourbillon autour d’un trou, désir, savoir, trouvaille se mêlent et s’enroulent pour tourner en une valse d’idées propice à la découverte pour chacun. Lacan a noué analyse personnelle, contrôle, enseignement, et cette journée de rencontre, d’étude et de discussion a démontré, encore, le rapport entre le plus intime de soi, le concept et sa propre analyse.

1 Lacan J., « Acte de fondation », Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 229.

2 Lacan J., Le séminaire, Livre XX, Encore, Paris, Seuil, 1975, p. 89.

3 Platon, Cratyle, [ou sur la justesse des noms], GF, Paris, 1967, p. 387-473

4 Paulhan J., Le guerrier appliqué, Paris, Gallimard, 1930.

5 Lacan J., « Discours à l’École freudienne de Paris », Autres écrits, op. cit., p. 273.

6 Lacan J., Le séminaire, Livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1973, p. 27.




Psychanalyse dans et entre les institutions

Pénélope Fay dans l’Hebdo Blog n° 116 ré-impulse chez moi la nécessité de faire savoir une part de ce qui se passe au delà de notre ACF et pas sans elle.

Tout a commencé par la proposition de Christiane Alberti, vers les 44è Journées de l’ECF, Etre mère, d’activer nos réseaux au-delà de notre ACF. Ce qui fut fait pour le réseau de notre institution « Case Marmaillons »1.

Nous ne savions pas comment, ni ce que, de ce thème nous extrairions. Rien n’était dévoilé, nous avions à interpréter et tenter d’en lire quelque chose. Nous avons abordé des collègues hors de notre champ avec lesquels nous avions l’habitude de travailler ou d’échanger. Ce furent des rencontres au un par un avec ceux de nos plus proches collaborateurs, réseau LAEP2, dont « Kaz Timoun », les unités de Périnatalité, les services de Maternité et de Pédiatrie du CHU Sud Réunion, le Conseil départemental et la PMI.

Dans ces rencontres préalables, nous avons présenté, questionné ensemble le thème, jusqu’à : « Mais c’est quoi être mère ? » et puis  « On n’est pas obligée  ! » et « Ma mère me bouffe ! »  A partir de là, certains collègues ou groupes de collègues ont décidé d’écrire une vignette questionnant leur pratique en s’appuyant ce qu’ils découvraient du thème. La Conversation clinique autour de quatre vignettes de collègues de différentes institutions, de différentes pratiques, de différentes fonctions, a eu lieu à « Case Marmaillons ».

Cela n’a pas été sans conséquences. Pour les 45è journées, Faire couple, un pas de plus, nous avons envoyé, aux interlocuteurs dans les instituions un mail avec le thème et l’argument, ce qui a suscité des questions (« Comment faire quand il y a une coagulation dans le couple mère-enfant ?»…)   et a impulsé un désir de travail dans les équipes des LAEP, de la périnatalité, pédiatrie, ARPEJE3, CAMSP4, SESSAD5. La Conversation clinique s’est faite à partir de cinq vignettes au stade de Saint-Pierre.

Le thème des 46è journées, L’objet regard a provoqué beaucoup d’interrogations : qui n’est pas sous le regard, surtout dans les institutions ? Comment accompagner un enfant sous le regard de ses parents ? Une nouveauté, Marie-Pierre Audouy nous a invités dans son institution où la psychanalyse ne va pas de soi. Sa directrice nous a accueillis et là trois vignettes nous ont permis de tourner autour du thème, chacun à sa façon, dans sa pratique et son institution. Six institutions y ont participé.

Pour les 47è journées Apprendre : désir ou dressage ? encore du nouveau, faire cartel pour préparer des conversations cliniques. Ce cartel va vers les 47è journées et la Journée de l’Institut de l’Enfant. Avec des questions : Les enfants violents et Apprendre ? Pour eux, pour nous ? En utilisant la phrase de P. Fay : Par quel bout l’attraperaient-ils ?  Et nous ?

Notre désir aussi est d’entrer dans des institutions où nous ne sommes pas, ou pas reconnus mais où des collègues font les petites souris et peuvent discrètement nous ouvrir la porte. Nous avons été invités au CAMSP où deux vignettes ont été mises au débat et des collègues qui nous recevaient ont pu évoquer leur pratique.

Pour conclure, la nécessité de loger ce travail sous un titre m’a paru fondamental. Aussi j’ai proposé que ces actions soient intitulées : « Psychanalyse entre et dans les institutions : Conversations Cliniques » On pourrait rajouter Hors-les-Murs.

1 CM lieu d’accueil d’enfants jusqu’à 6 ans avec leurs parents

2 LAEP : Lieu d’Accueil Enfant Parent

3 ARPEJE : Association Réunionnaise de Protection et de l’Education de la jeunesse

4 CAMSP : Centre d’accueil médico-social précoce

5 SESSAD : Service Educatif Soin Spécialisé à Domicile




Ne pas achever le travail

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J’aime pas l’école… Oui…. et alors ?

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